Découvrez les étapes et les parcours de la Balade Quevillaise sur la carte interactive
VIGILANCE ORANGE NEIGE-VERGLAS – Ce jeudi 21/11 et vendredi 22/11. Pour votre sécurité, limitez vos déplacements. Vitesse abaissée de 20km/h, chaussées glissantes, fermeture anticipée de certains lieux publics… La Ville a activé son plan neige et les équipes sont mobilisées pour des opérations de sablage et salage des routes et accès aux lieux publics. Plus d’informations : ici
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Le cœur de ville est construit dans les années 1970, sous l’impulsion de son Maire Tony Larue, avec la volonté de doter la commune d’une centralité, de services et d’équipements à proximité des lieux d’habitation afin d’en faire une ville moderne.
La ville est érigée sur d’anciens terrains agricoles. L’organisation spatiale de la ville se fait de façon progressive, grâce notamment à la création d’une ZUP (Zone Urbaine Prioritaire) en 1961 définissant un périmètre qui englobe des quartiers existants, couvrant plus de la moitié de la commune.
Ouverte en 1979, c’est l’une des premières de l’agglomération. Elle est conçue sous la direction des architectes Tougard, Bellet et Langlard. Parallèlement, le centre socio culturel, le centre médico-social et la crèche sont construits autour. Cette architecture proliférante, typiques des années 1970, est reliée par un toit composé de modules hexagonaux répétitifs.
Le théâtre, dessiné par l’architecte Henri Tougard, se caractérise par la succession de douze voiles en béton formant un dodécaèdre, représentatif de l’architecture brutaliste. Le volume extérieur se traduit à l’intérieur dans la forme de la salle de spectacle, pensée pour être polyvalente. Autour d’elle s’articule un vaste espace d’accueil éclairé par des canons de lumière, dispositifs modernes ayant pour fonction de capter la lumière zénithale pour la redescendre de manière diffuse.
Ancienne grange à colombage du XVIIè / XVIIIè siècle, appartenant à la ferme Grenet, elle incarne l’histoire de la commune. Localisée à l’origine en bord de Seine, l’exploitation est rachetée par la commune au début des années 1950 afin d’y implanter plusieurs projets de lotissements. En 1980, la ville charge l’architecte Henri Tougard de déplacer et de reconstituer le bâtiment à l’entrée de l’allée des Arcades pour en faire dans un premier temps un hall commercial. C’est aujourd’hui un espace dédié à l’Art contemporain.
Elle permet de relier les principaux équipements du cœur de ville. En 1972, pour attirer et dynamiser le nouveau quartier, des commerces ont été créés tout au long de cet axe. Vivant et animé, il est l’une des artères majeures de la ville. Le métro empreinte cette avenue et dessert le cœur de ville via la station située place Kennedy.
Architecte et urbaniste (1914-1996). Diplômé des Beaux-Arts de Paris, élève d’Auguste Perret, il s’inscrit dans le courant moderniste. Au début des années 1950 il s’installe dans la région rouennaise et s’associe afin de fonder ACOPA, Atelier Coopératif d’Architecture. Plusieurs de ses réalisations sont visibles dans l’agglomération, notamment l’immeuble d’habitation de l’Îlot onze situé rue du Bac à Rouen et la Tour de la Sécurité Sociale sur le boulevard d’Orléans.
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Le cœur de Grand-Quevilly s’articule autour de son Hôtel de Ville et de son esplanade. Conçu en 1974, il est le symbole de cette nouvelle cité dotée du confort moderne au service de ses habitants.
Imaginé comme une « maison communale », le bâtiment est conçu par l’architecte Henri Tougard. Il est composé d’une tour vitrée de neuf étages qui abrite les différents services, complétée d’une barre rythmée par des travées qui est le bâtiment citoyen. Au neuvième étage, une salle panoramique permet d’admirer la ville. Au premier étage se cache un trésor pour les amateurs de design : la salle des mariages, de forme ovale, est ceinturée par des parois en aluminium. Elle est complétée par des rangées de sièges-coques blancs signés du célèbre designer danois Jacobsen.
Elle est positionnée devant la façade noble de l’Hôtel de Ville, au-dessus d’un parking souterrain de 300 places. En 2019, Folius écopaysage en repense l’aménagement de l’esplanade.
En raison de la faible épaisseur de dalle, l’esplanade privilégie un sol minéral. L’accessibilité est travaillée avec la création d’un escalier monumental et d’une rampe qui permettent la circulation vers les commerces de l’Avenue des Provinces. Une petite scène extérieure, sur la façade du théâtre, est valorisée.
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